Départ
Fugitives silhouettes
L’une contre l’autre serrées,
Elles semblent disparaître
Et dans la brume se terrer.
On devine les chagrins,
Leur vie de labeurs et les peines
Dont leurs cœurs sont étreints.
Seul le désespoir les mène
Et les porte toujours plus loin.
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