Cinéma et musique
Les protagonistes du roman Un autre ami se déplacent à plusieurs reprises. Il leur arrive de voyager, jusqu’en France ou en Angleterre. Puisque je mentionne les voyages, il y en a un auquel je fais allusion : il s’agit d’un Voyage à Tokyo, qui n’est autre que le titre d’un film de 1953 réalisé par le cinéaste japonais Ozu. J’y fais allusion en abordant lors d’un chapitre les rapports parents-enfants. En voici un extrait. Un autre ami est-il un essai sur les relations familiales ?
Le cinéma encore lorsque je mentionne le film Shock Corridor. Une incursion de courte durée aux USA, mais qui m’est venue à l’esprit en raison du contexte de l’une des scènes du roman. Un autre ami est-il un récit sur le traitement de la folie ?
Non. Il doit parler d’amour puisqu’il fait référence au film Coup de foudre à Notting Hill. Mais cela pourrait aussi être une réflexion sur le pouvoir de la séduction féminine des blondes, puisque il y est fait mention de la blondeur d’une Jean Harlow, actrice et sex-symbol des années 1930.
Quant aux chansons, il y a bien sûr celles de Noël, dont j’ai déjà eu l’occasion de parler, mais aussi celles plus modernes d’Elvis Presley, ou de Chet Baker.
Mon récit est un peu tout ça, tout en suivant le fil conducteur d’une amitié entre deux homme que tout aurait pu séparer. On y trouve des sentiments mêlés d’amour et de colère, sur un fond de références musicales, artistiques et cinématographiques qui peuvent, à première vue, sembler hétéroclites.
En définitive, est-ce qu’il ne vaudrait pas mieux lire Un autre ami pour se forger sa propre opinion ?
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