J’avais auto-publié mon deuxième roman Terres pouilleuses fin 2018, librement inspiré d’un drame rural familial.

Ironie macabre, il y est fait référence à la pandémie de la grippe espagnole de 1918, alors que nous sommes confrontés à celle du coronavirus, une centaine d’années plus tard.

Il paraît cette fois-ci sous l’égide des éditions Hélène Jacob, en même temps que mon troisième récit Terres belliqueuses.

Terres pouilleuses et Terres belliqueuses sont deux ouvrages indépendants, dont l’action se situe dans la contrée champenoise, au cours de la première moitié du XXe siècle.

Ils décrivent, au travers des personnages récurrents de ces récits, le quotidien d’une société confrontée tour à tour à deux guerres mondiales, leurs tourments, joies, peines, douleurs, espoirs…, leur évolution psychique, ainsi que celle de la société dans laquelle ils nous entraînent.