Pomme de discorde
Je vais ce soir faire allusion à la pomme de discorde de mon roman Un autre ami.
Je veux parler de la femme, bien sûr ! Rares sont celles du roman qui ne sont pas cause de tourments. Présences ou absences obsédantes, elles viennent enflammer l’esprit, quel que soit leur physique.
Certaines peuvent évoquer Twiggy, le mannequin androgyne filiforme, des années 60 du Swinging London, Londres étant devenue la capitale de la culture pop et de la mode (une rue symbolisait tout cela: Carnaby Street ).
À l’époque, tout comme l’autre célèbre top model, Jean Shrimpton, Twiggy arborait la mini-jupe d’une créatrice de mode nommée Mary Quant.
Les sexagénaires ont le souvenir de Twiggy, cette jeune femme blonde, mince et longiligne. Elle avait hérité de son surnom d’enfance, synonyme de « brindille ». Elle était un peu la Kate Moss de l’époque. Elle est âgée à présent de 68 ans. Elle a repris le mannequinat pour la mode senior des magasins Marks & Spencer. En 2015, elle est devenue l’égérie de la marque de cosmétiques L’Oréal.
Les personnages du roman Un autre ami ne sont pas tous attirés par le physique d’une Twiggy, préférant les rotondités d’un modèle à la Rubens. Quoi qu’il en soit, la femme est dans les pensées de la plupart d’entre eux, adulée ou vouée aux gémonies.
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